Gare de Lyon, sur un tableau, les passant sont invités à compléter la phrase :"Avant de mourir, je voudrais…". Quitte à choisir, je préfère "Avant de mourir, je veux…". Trois points de suspension qui matérialise le temps de réflexion nécessaire
pour compléter cette phrase. Je veux quoi ? Ce n’est pas « j’aimerais ».
C’est « je veux ». La perspective de la mort m'inclinerait à
passer du souhait à la volonté. Ce qui résume le mieux ma volonté est :
avant de mourir, je veux vivre. Tant que j’y suis, je ne garde que : je
veux vivre. Vivre c'est aimer et être aimer. Voulons-nous autre chose?
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